Page:Vauvenargues - Introduction à la connaissance de l'esprit humain 1747.djvu/276

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la caufe abandonnée des peuples. Quelle bonté de cœur, quelle fincérité se remarquent dans tes Ecrits ! Quel éclat de paroles & d’images ! Qui fema jamais tant de fleurs dans un ftyle si naturel, si mélodieux & si tendre ? Qui orna jamais la raifon d’une si tou?chante parure ? Ah ! que de tréfors, d’abondance, dans ta riche fimp licite.

O noms confacrés par Famour & par les refpe&s de tous ceux qui chériffent l’honneur des Lettres ! Restaurateurs des arts, peres de l’éloquence, lumieres de l’esprit humain,. que n’ai-je un rayon du génie qui échauffa vos profonds oifcours pour vous exr pliquer dignement & marquer tous les traits qui vous ont été propres !

Si l’on pouvoit mêlerdes talens si divers, peut-être qu’on voudroit penfer comme Pafcal,.écrir.ft