gnée chez nous… tout comme chez toi… Elle ne manquera de rien… Et tu pourras la visiter quand tu voudras…
Vous êtes encore un malin de la rue de la Plume ! Vous voudriez la Mariotte, maintenant qu’elle rapporte ? Eh bien ! c’est trop tard ; j’l’ai, j’la garde !
Allons, Gouron, partageons la poire en deux !
La poire, ce serait moi, si je partageais.
Bien le bonjour.
Tenez, en v’là encore un qui a reniflé l’odeur de l’argent.
Eh bien ! Comment qu’elle va, Marie-Anne ?
Pas mal. Et toi ?
Si elle va pas mal, ça va bien. Elle ne t’embarrassera pas longtemps.
Elle ne m’embarrasse pas… loin de là !
Je viens la rechercher…
Ah ! Finaud !… Père Bonfils, mettez-y un doigt dans la bouche pour voir s’il vous mordra. T’as causé avec Louison, toi !
Moi ?… Pas du tout !… Pourquoi que je causerais avec Louison ?