Page:Verdi-Aïda.djvu/24

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Une salle dans l’appartement d’Amneris.

Amneris est entourée d’esclaves qui la parent pour la fête triomphale. De jeunes esclaves maures agitent des éventails de plumes.

CHŒUR Au son des chants de guerre Il vient, le chef vaillant. Moins prompt est le tonnerre. Le jour est moins brillant. Tressons pour sa couronne Les roses, le laurier. Qu’un chant d’amour résonne Écho d’un chant guerrier !

AMN Ah ! viens ! toi que j’adore ! Tu vis, je te revois !

CHŒUR