Cette page n’a pas encore été corrigée
Qu’Aïda t’appartienne !
AÏDA Ma couronne est la tienne !
AMON. Son amour t’a fait roi !
RAD O honte ineffaçable ! Je livre mon pays !
AÏDA Calme-toi !
AMON. Tu n’es pas coupable, Car Dieu lui-même l’a permis : Viens ! mes amis sur l’autre bord M’attendent au passage. L’amour sur ce rivage Embellira ton sort !
Les Mêmes, Amneris, puis Ramphis, les Prêtres, les Gardes.
AMON.[à Radamès] Viens ! viens !
AMN [sortant du temple] O traître !