Page:Verhaeren - James Ensor, 1908.djvu/53

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Pantazis et d’autres. On y cultivait une peinture aux qualités solides, faite au couteau et qu’on prétendait sortie ou plutôt dérivée de la puissante et rayonnante esthétique des ancêtres. Cette opinion, certes, n’était point



mensongère, encore qu’il fallût convenir que ces puissants peintres qui, à juste titre, se réclamaient de leur origine avaient tous regardé avec trop d’insistance les toiles du Franc-Comtois Courbet. Il est vrai que ce dernier aimait à s’arrêter longuement devant celles de