Page:Verhaeren - La Guirlande des dunes, 1907.djvu/37

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Et néanmoins les petites lumières
Veillent toujours dans les chaumières ;
Et parsèment les enclos noirs,
Comme les miettes du pain d’espoir.

Et les femmes, sous leurs manteaux funèbres,
Le poing crispé contre la bouche,
Sont là toujours, muettes et farouches,
À regarder vers les ténèbres.