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Tout l’infini peuplé d’hypothèses logiques !
Le fourmillement d’ombre et d’or des cieux hautains
Soustrait lui-même aux puissances théologiques
Et dominé par des calculs froids, mais certains.

Les neuves vérités ainsi que des abeilles,
Pour une ruche unique et pour le même miel
Peinant et s’exaltant et saccageant la treille
Des beaux secrets cachés qui joint la terre au ciel.

Les recherches foulant le sol des consciences ;
Ordre et désordre unis et beaux comme la mer ;
Le germe humain reproduisant en sa croissance,
Les grands types de vie au cours des temps amers.

Et chaque élan vainqueur de la pensée entière
Qui n’a qu’un but : peser, jauger et définir,
Se confondant comme une flamme dans la lumière
Et la lucidité, qui seront l’avenir.

L’homme s’est assigné, sur le globe, sa place
Solidaire, dans l’attirant affolement
Et le combat entre eux des atomes rapaces
Depuis les profondeurs jusques au firmament.