Page:Verhaeren - Les Heures du soir, 1922.djvu/10

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Car nous vivons toute la joie
Dardée en cris de fête et de printemps,
En nos aveux, où se côtoient
Les mots fervents et exaltants.

Oh ! dis, c’est bien en nous que se féconde

Le plus joyeux et doux jardin du monde.