Page:Verhaeren - Les Heures du soir, 1922.djvu/14

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
De leurs ferveurs, si doucement ;

Et je te sens si bien en paix de toute chose
Que rien, pas même un fugitif soupçon de crainte,
Ne troublera, fût-ce un moment,
La confiance sainte
Qui dort en nous comme un enfant repose.