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XXVII


Le don du corps, lorsque l’âme est donnée,

N’est rien que l’aboutissement
De deux tendresses entraînées
L’une vers l’autre, éperdûment.

Tu n’es heureuse de ta chair,
Si belle en sa fraîcheur natale,
Que pour, avec ferveur, m’en faire
L’offre complète et l’aumône totale.

Et je me donne à toi, ne sachant rien
Sinon que je m’exalte à te connaître,
Toujours meilleure, et plus pure, peut-être,
Depuis que ton doux corps offrit sa fête au mien.