Page:Verhaeren - Les Plaines, 1911.djvu/141

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Panache au clair et glaive nu,
Les lansquenets des girouettes
Pirouettent.

L’air est rugueux et cru ;
Un chat près du foyer se pelotonne ;
Et tout à coup au coin du bois résonne,
Monotone et discors,
L’appel tintamarrant des cors
D’automne.

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