Page:Verhaeren - Les Plaines, 1911.djvu/80

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Mais les nuages blancs et lents
Qui, tout là-haut, font route,
Écoutent
Leur chant
Et leurs cris et leurs trilles
Qui brillent,
Tels des micas diamantés,
Dans l’air torride et sec du flamboyant été.

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