Page:Verhaeren - Les Villes tentaculaires, 1920.djvu/27

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Sur ce moulin de bois.

Et celui-ci, c’est mon cousin
Qui fut curé et but si fort du vin
Que le soleil en devint rouge ;
J’ai su qu’il habitait un bouge,
Avec des morts, dans ses armoires.

Car nous avons pour génitoires
Deux cailloux
Et pour monnaie un sac de poux
Nous, les trois fous,
Qui épousons, au clair de lune,
Trois folles dames sur la dune.