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Page:Verhaeren - Les Villes tentaculaires, 1920.djvu/70

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LA KERMESSE


Avec colère, avec détresse,
Avec ses refrains de quadrilles,
Qui sautèlent sur leurs béquilles,
L’orgue canaille et lourd,
Au fond du bourg,
Moud la kermesse.

Quelques étals, au coin des bornes,
Et quelques vieilles gens,
Au seuil d’un portail morne.

Et quelques couples seuls qui se hasardent,