Page:Verhaeren - Poèmes, t1, 1895, 2e éd.djvu/247

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
241
les moines


Oh ! les bouches en feu qui l’aimeront encor,
Les innombrables mains qui de leurs doigts d’argile
L’attoucheront, avec un tremblement fébrile,
Et qui toutes seront mortes, avant la mort !