Page:Verlaine - Œuvres complètes, Vanier, III.djvu/271

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


XVII


À F.-A. Cazals.


Grâce à toi je me vois de dos
Et bien plus vraisemblable :
Dans ton croquis, à pas lourdauds,
Je m’en vais droit au diable.

Moi qui, pour la postérité,
Sur une aile céleste
Croyais m’envoler, révolté,
Fatal et tout le reste !

— Je m’achemine doucement,
D’un trot plus ou moins leste.
Attiré par un double aimant.
Vers le diable… ou le reste.