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souvenirs

ce que j’ai, spectateur faubourien, dans mes tréfonds.

Mais je grandissais, je grandissais, et voici qu’il m’est temps d’arriver à mes contemporains — pour ainsi parler, — les livres d’à partir de La Légende des Siècles, en passant, un peu vite, par les Châtiments et si vous voulez bien par un Hugo politique qu’illustrerait avec votre permission quelques mots inédits et anecdotes sur lui.

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