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varia
3e vers de la cinquième strophe :
Croirais-tu pour un bien pourtant…
Aux deux dernières strophes, quelques différences :
Sois humble et souffre en paix. Un répit ? prie après.
Je suis là, du courage. Il en faut à ce monde.
Qui le sait mieux que moi ? Lorsque tu souffrirais
Cent fois plus, qu’est cela, près de ma mort immonde
Et de mon agonie et du reste. Allons, vois,
C’est fait. Le mal s’en va ; tu peux vivre dans l’aise
Quelques beaux jours encore et vieillir sur ta chaise,
Au soleil, pour mourir et renaître à ma voix.
La Lorraine Artiste donne comme date du poème le 5 août 93 et le manuscrit indique le 8.