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Page:Verlaine - Fêtes galantes, 1891.djvu/17

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SUR L’HERBE



L’abbé divague. — Et toi, marquis,
Tu mets de travers ta perruque.
— Ce vieux vin de Chypre est exquis
Moins, Camargo, que votre nuque.

— Ma flamme… — Do, mi, sol, la, si.
— L’abbé, ta noirceur se dévoile.
— Que je meure, mesdames, si
Je ne vous décroche une étoile.