Page:Verlaine - Fêtes galantes, 1891.djvu/51

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
43
FÊTES GALANTES

Et comme Antoine fuir au seul prix d’un baiser.

Sur ce, très chère, adieu. Car voilà trop causer,
Et le temps que l’on perd à lire une missive
N’aura jamais valu la peine qu’on l’écrive.