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Page:Verlaine - Jadis et Naguère, Vanier, 1884.djvu/60

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Myrtil, même jeu que précédemment.

Vous seriez si d’ailleurs vous l’étiez de moi !Douce
Amie !


Chloris

Amie !Ah, que c’est froid ! « Douce amie ! » Il vous trousse
Un compliment banal et prend un air vainqueur !
J’aurai longtemps vos « oui » de tantôt sur le cœur.


Myrtil, indolemment.

Permettez…


Chloris

Permettez…Mais voici Rosalinde et Sylvandre.


Myrtil, comme réveillé en sursaut.

Rosalinde !


Chloris

Rosalinde !Et Sylvandre. Et quel besoin de fendre
Ainsi l’air de vos bras en façon de moulin ?
Ils débusquent. Tournons vite le terre-plein
Et vidons, s’il vous plaît, ailleurs cette querelle.

(Ils sortent.)