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Page:Verlaine - Jadis et Naguère, Vanier, 1884.djvu/70

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Myrtil

C’est affreux !


Chloris

C’est affreux !Ô douleur !


Rosalinde, sur la pointe du pied et très bas.

C’est affreux !Ô douleur !Chloris !


Chloris

C’est affreux !Ô douleur !Chloris !Vous étiez là ?


Rosalinde

Le sort capricieux qui nous désassembla
A remis, faisant trêve à son ire inhumaine,
Sylvandre en bonnes mains, et je vous le ramène
Jurant son grand serment qu’on ne l’y prendrait plus.
Est-il trop tard ?


Sylvandre, à Chloris.

Est-il trop tard ?Ô point de refus absolus !
De grâce ayez pitié quelque peu. La vengeance
Suprême c’est d’avoir un aspect d’indulgence,