Aller au contenu

Page:Verlaine - Jadis et Naguère, Vanier, 1884.djvu/88

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


« Et nous avons de quoi repaître
Cet impérial appétit,
Le champ de bataille sans maître
N’étant ni vide ni petit.

« Or, sans plus perdre en phrases vaines
Dont quelque sot serait jaloux
Cette heure de grasses aubaines,
Buvons et mangeons, nous, les Loups ! »