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MARCO[1]
Quand Marco passait, tous les jeunes hommes
Se penchaient pour voir ses yeux, des Sodomes
Où les feux d’Amour brûlaient sans pitié
Ta pauvre cahutte, ô froide Amitié ;
- ↑ L’auteur prévient que le rhythme et le dessin de cette ritournelle sont empruntés à un poëme faisant partie du recueil de M. J. T.