Page:Verlaine - Poèmes saturniens, Lemerre, 1866.djvu/35

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
— 17 —



III

APRÈS TROIS ANS



Ayant poussé la porte étroite qui chancelle,
Je me suis promené dans le petit jardin
Qu’éclairait doucement le soleil du matin,
Pailletant chaque fleur d’une humide étincelle.