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césar cascabel.
ment, il aurait fallu que M. et Mme Cascabel eussent été aveugles pour ne point reconnaître quel sentiment elle inspirait à leur fils. Aussi commençaient-ils à s’en inquiéter. Ils savaient ce qu’était M. Serge, et ce que serait un jour Kayette. Ce n’était plus la pauvre Indienne, qui allait mendier à Sitka quelque place de servante, c’était la fille adoptive du comte Narkine. Et Jean se préparait de grands chagrins pour l’avenir !