Page:Verne - Claudius Bombarnac.djvu/186

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raître devant les autorités de la frontière. Je me rappelle, d’ailleurs, les craintes manifestées par Kinko, et c’est à son sujet qu’il y aura lieu de trembler, si la visite des voyageurs s’étend jusqu’à celle des colis et des bagages.

Avant l’arrivée du train à Kachgar, le major Noltitz m’avait dit ceci :

« Ne vous imaginez pas que le Turkestan chinois diffère sensible-