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Quant à moi, après trois semaines passées à Pékin, je suis revenu en France par la voie de mer.
Maintenant, il me reste à faire un aveu pénible pour mon amour-propre : dès le lendemain de mon arrivée dans la capitale du Céleste-Empire, j’avais reçu une dépêche ainsi conçue en réponse à mon télégramme de Lan-Tchéou :
« Claudius Bombarnac Pékin Chine
« Direction XXe Siècle charge son correspondant Claudius Bombarnac de présenter compliments et hommages à héroïque seigneur Faruskiar. »
Mais j’ai toujours soutenu que cette dépêche n’était pas parvenue à son destinataire — ce qui lui a épargné le désagrément d’y répondre.
FIN.