Page:Verne - Claudius Bombarnac.djvu/44

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« C’est imprudent ce que vous avez fait là. »

Et je réponds comme on a l’habitude de répondre en pareille circonstance :

« Ma foi, capitaine, je ne savais pas…

— Il faut toujours savoir, monsieur ! »

Cette phrase a été prononcée d’une voix sèche et revêche à quelques pas de moi.