Page:Verne - Deux Ans de vacances, Hetzel, 1909.djvu/186

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
176
deux ans de vacances.

Ils s’avancèrent jusqu’au-dessus de French-den. (Page 175.)


égaré ?… C’était assez inadmissible. Avait-il péri sous la dent de quelque fauve ?… Cela pouvait être, et c’est même ce qui eût le mieux expliqué sa disparition.

Il était neuf heures du soir. Une profonde obscurité enveloppait la falaise et le lac. Il fallut bien se résoudre à abandonner les recherches pour regagner French-den.

Tous rentrèrent alors, très inquiets – et non seulement inquiets,