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Page:Verne - L’École des Robinsons - Le Rayon vert.djvu/196

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l’école des robinsons

Tout le troupeau épouvanté… (Page 181.)

À sa grande surprise, Carèfinotu avait fait comme lui ! Oui ! le noir, saisissant le second fusil, — une arme qu’il n’avait jamais maniée cependant, — emplissait ses poches de cartouches et venait de prendre place à la seconde fenêtre.

Alors les coups de feu commencèrent à retentir à travers ces embrasures. À l’éclair de la poudre, Godfrey d’un côté, Carèfinotu de l’autre, pouvaient voir à quels ennemis ils avaient affaire.

Là, dans l’enceinte, hurlant de rage, rugissant sous les détonations, roulant sous les balles qui en frappèrent quelques-uns, bondissaient des lions, des