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la vie à iona.

Il l’attaquait à coups de marteau. (Page 108.)

Si Aristobulus Ursiclos, habitué au confort moderne, ne laissait pas de se plaindre plus souvent qu’il ne convenait, personne ne faisait attention à ses plaintes.

S’il trouvait le temps long, dans cette île, le temps passait vite pour les autres, et miss Campbell ne récriminait plus contre les vapeurs qui embrumaient chaque soir l’horizon.

Certes, Iona n’est pas grande, mais à qui aime à se promener en bon air faut-il de si vastes espaces ? Les immensités d’un parc royal ne peuvent-elles tenir dans un bout de jardin ? On se promenait donc. Olivier Sinclair prenait