Le vieux lapidaire venait, en effet, de vendre son Kopje à une compagnie dirigée par l’ex-courtier Nathan. Après avoir heureusement terminé cette liquidation, il vint rejoindre en France ses enfants d’adoption, lesquels, grâce au travail de Cyprien, à son mérite reconnu, à l’accueil que le monde savant lui fit à son retour, sont assurés de la fortune, après s’être préalablement assurés du bonheur.
Quant à Thomas Steel, rentré au Lancashire avec une vingtaine de mille livres sterling, il s’est marié, chasse le renard comme un gentleman et boit tous les soirs sa bouteille de Porto ; ce n’est pas ce qu’il fait de mieux.
Le Vandergaart-Kopje n’est pas encore épuisé et il continue à fournir tous les ans, en moyenne, la cinquième partie des diamants exportés du Cap ; mais aucun mineur n’a plus eu ni la bonne ni la mauvaise chance d’y retrouver une autre Étoile du Sud !