Page:Verne - Le Chancellor - Martin Paz, Hetzel, 1876.djvu/193

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
185
martin paz.

III

André Certa, une fois introduit dans la maison de Samuel et couché dans un lit préparé en toute hâte, reprit ses sens et serra la main du vieux juif. Le médecin, averti par un des domestiques, était promptement accouru. La blessure lui parut être sans gravité ; l’épaule du métis se trouvait traversée de telle façon que l’acier avait seulement glissé entre les chairs. Dans quelques jours, André Certa devait se trouver sur pied.

« Va-t’en, » répondit durement le vieillard. (Page 188.)