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journal du passager j.-r. kazallon.

« Je ne vous conseille pas de me toucher, » dit Owen (Page 76.)

Cependant, sur un ordre de Robert Kurtis, le service des pompes a été organisé. L’équipage se met à la besogne avec plus de résignation que d’ardeur ; mais c’est une question de salut, et les matelots, divisés en deux bordées, se relayent aux bringuebales.

Pendant la journée, le bosseman fait procéder à de nouveaux sondages, et l’on constate que la mer pénètre lentement, mais incessamment, à l’intérieur du navire.

Par malheur, les pompes, à force de jouer, se dérangent souvent, et il faut nécessairement les réparer. Il arrive aussi qu’elles s’engorgent, soit des cendres, soit des brindilles de coton qui remplissent encore la partie basse de la cale. De