Page:Verne - Le Chemin de France, Hetzel, 1887.djvu/175

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« Adieu ! » m’écriai-je (Page 174.)


ne se hasarderont à travers cette partie de l’Argonne, et, là, dans quelque maison, nous pourrons attendre que le pays soit devenu plus tranquille.

— Oui, Natalis, c’est le parti le plus sage. Mais ne pouvons-nous gagner Longwé ?

— Ce village est trop éloigné, monsieur Jean. Votre mère ne pourrait l’atteindre !