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mantes, pendant lesquelles, assis l’un près de l’autre, ils écoutaient le murmure de la rivière.
« Au revoir, Suzel ! » répondit Frantz. (Page 26.)
Ce jour-là, le soleil était déjà très abaissé sur l’horizon, et, malgré les talents combinés de Suzel et de Frantz, « ça n’avait pas mordu ». Les barbillons ne s’étaient point montrés compatissants, et ils riaient des jeunes gens qui étaient trop justes pour leur en vouloir.
« Nous serons plus heureux une autre fois, Frantz, dit Suzel, quand le jeune pêcheur repiqua son hameçon toujours vierge sur sa planchette de sapin.
— Il faut l’espérer, Suzel, » répondit Frantz.
Puis, tous deux, marchant l’un près de l’autre reprirent le chemin de la mai-