Page:Verne - Le Secret de Wilhelm Storitz, 1910.djvu/15

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
9
LE SECRET DE WILHELM STORITZ.
« L’information est très sérieuse… »
« L’information est très sérieuse… »

— Et ce rival ?…

— Il a été éconduit par le docteur Roderich.

— Par conséquent, il n’y a pas lieu de s’en préoccuper. Du reste, si Marc se fût connu un rival, il m’en eût parlé dans ses lettres. Or, il ne m’en a pas soufflé mot. C’est donc que la chose est sans importance.

— En effet, mon cher Vidal, et cependant les prétentions de