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LE SECRET DE WILHELM STORITZ.

pas de chez moi, dans un hôtel superbe, où, chaque année, M. et Mme Roderich viennent passer deux mois avec le capitaine devenu le colonel Haralan. Chaque année, cette visite est rendue à Ragz par les deux époux. C’est le seul moment où je sois privé du babil de mon neveu — c’était un neveu, décidément ! — que je chéris avec une tendresse qui tient à la fois de l’oncle et du grand-père. Marc et Myra sont heureux.

Fasse le ciel que ce bonheur dure de longues années ! Fasse le ciel que personne ne connaisse les maux qu’ils ont soufferts ! Fasse le ciel, et ce sera mon dernier mot, que jamais ne soit retrouvé l’exécrable secret de Wilhelm Storitz !



FIN.