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LE SUPERBE ORÉNOQUE.

où l’on prendrait le paquebot du bas Orénoque. Quant au retour à Santa-Juana… on pouvait s’en rapporter à Jacques Helloch, il s’accomplirait avec toutes les chances de rapidité et de sécurité possibles.

« Et puis, mon colonel, fit observer le sergent Martial, notre fille a un bon mari pour la défendre, et ça vaut mieux qu’un vieux bonhomme de soldat… une vieille bête… qui n’a pas même été capable de la sauver… ni des flots de l’Orénoque… ni de l’amour de ce brave Jacques Helloch ! »