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LE CONSEIL
Une masse sombre passait dans les hauteurs du ciel. (Page 121.)
l’espoir, ne sera pas le dernier ! La haine de Schultze ne saurait se tenir pour battue et s’arrêter devant un échec !
— Venez ! » s’écria Marcel.
Et tous le suivirent sur la grande place.
Les trois minutes s’écoulèrent. Onze heures quarante-cinq sonnèrent à l’horloge !…
Quatre secondes après, une masse sombre passait dans les hauteurs du ciel, et, rapide comme la pensée, se perdait bien au-delà de la ville avec un sifflement sinistre.
« Bon voyage ! s’écria Marcel, en éclatant de rire. Avec cette vitesse initiale,