Page:Verne - Les Enfants du capitaine Grant.djvu/193

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Paganel dégringolait de branche en branche. (Page 187.)


Maintenant donc, dans la prévision d’un séjour prolongé, il s’agissait de procéder à une installation confortable.

« Puisque la cuisine et la salle à manger sont au rez-de-chaussée, dit Paganel, nous irons nous coucher au premier étage ; la maison est vaste ; le loyer n’est pas cher ; il ne faut pas se gêner. J’aperçois là-haut des berceaux naturels dans lesquels, une fois bien attachés, nous dormirons comme dans les meilleurs lits du monde. Nous n’avons rien à craindre ; d’ailleurs, on veillera, et nous sommes en nombre pour repousser des flottes d’Indiens et autres animaux sauvages.

— Il ne nous manque que des armes, dit Tom Austin.