Aller au contenu

Page:Verne - Les Enfants du capitaine Grant.djvu/272

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


« Allons au moulin », dit Glenarvan. (Page 271.)


« Il y a des bancs de sable, dit-il à Austin.

— C’est mon avis, répondit le second.

— Nous sommes dans la main de Dieu, reprit John. S’il n’offre pas une passe praticable au Duncan, et s’il ne l’y conduit lui-même, nous sommes perdus.

— La marée est haute en ce moment, capitaine, peut-être pourrons-nous franchir ces bancs ?

— Mais voyez donc, Austin, la fureur de ces lames ! Quel navire pourrait leur résister ? Prions Dieu qu’il nous aide, mon ami ! »

Cependant le Duncan, sous son tourmentin, portait à la côte avec une