Page:Verne - Les Naufragés du Jonathan, Hetzel, 1909.djvu/320

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Un feu brûlait près de l'entrée. (Page 295.)

l’improviste face à face avec le Kaw-djer, qui venait, comme de coutume, surveiller les travaux du port. Celui-ci avait son air habituel, et l’on n’eût pas deviné, en le voyant, que rien d’insolite fût arrivé ! Dorick jugea ce calme plus effrayant que la colère. Il se dit que, pour être si paisible, le gouverneur devait avoir la certitude de mettre la main sur les coupables. Tremblant, il feignit de s’absorber dans son travail, en évitant de relever les