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« Des cris, frère ! Écoute ! » (Page 101.)

fait dans ces manches d’aération tendues au vent à bord des steamers. En même temps, une avalanche de pierres et de troncs d’arbres commençait à rouler du haut des talus.

« Nous ne pouvons rester ici, dit Michel Strogoff.

— Nous n’y resterons pas non plus ! s’écria l’iemschik, tout effaré, en se raidissant de toutes ses forces contre cet effroyable déplacement des couches d’air. L’ouragan aura bientôt fait de nous envoyer au bas de la montagne, et par le plus court !

— Prends le cheval de droite, poltron ! répondit Michel Strogoff. Moi, je réponds de celui de gauche ! »