Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/224

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« Va ! » dit Ivan Ogareff. (Page 216.)

pouces seulement. Au cas où elle eût fléchi sous la douleur, sa poitrine était percée de cette pointe aiguë.

Le Tartare se tint debout.

Il attendait.

« Va ! » dit Ivan Ogareff.

Le fouet siffla dans l’air…

Mais, avant qu’il eût frappé, une main puissante l’avait arraché à la main du Tartare.

Michel Strogoff était là ! Il avait bondi devant cette horrible scène ! Si, au relais d’Ichim, il s’était contenu lorsque le fouet d’Ivan Ogareff l’avait