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Soulevé soudain par une force irrésistible, il roula à terre… (Page 32.)

amené. Un aide de camp vint jusqu’à sa chambre, dont la porte était fermée. Il l’appela…

Ivan Ogareff, immobile près de la fenêtre et invisible dans l’ombre, se garda bien de répondre.

On rapporta donc au grand-duc que le courrier du czar n’était pas en ce moment au palais.

Deux heures sonnèrent. C’était le moment de provoquer la diversion convenue avec les Tartares, disposés pour l’assaut.

Ivan Ogareff ouvrit la fenêtre de sa chambre, et il alla se poster à l’angle nord de la terrasse latérale.