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— Également, répondit José. Quand la saison des pluies grossit ces torrents, ils se jettent dans la petite rivière d’Ixtolucca que nous retrouverons dans les grandes montagnes.
— Nous n’avons rien à craindre dans ces solitudes ?
— Rien, si ce n’est le poignard mexicain !
— C’est vrai, répondit Martinez. Ces Indiens des pays élevés sont fidèles au poignard par tradition.
— Aussi, reprit le gabier en riant, que de mots pour désigner leur arme favorite : estoque, verdugo, puna, anchillo, beldoque, navaja ! Le nom leur vient aussi vite à la bouche que le poignard à la main ! Eh bien, tant mieux,