Page:Verne - Mistress Branican, Hetzel, 1891.djvu/290

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
265
le train d’adélaïde.

Au petit jour l’un et l’autre ont quitté Farina-Town. (Page 268.)

là l’embryon d’une de ces villes que les railways anglais ou américains « produisent » sur leur passage, comme les arbres produisent des fruits ; mais ils mûrissent vite, ces fruits, grâce au génie improvisateur et pratique de la race saxonne. Et telles de ces stations, qui ne sont que des villages, montrent déjà par leur disposition générale, l’agencement des places, des rues, des boulevards, qu’elles deviendront des villes à court délai.