Page:Verne - Mistress Branican, Hetzel, 1891.djvu/339

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
312
mistress branican.

préoccuper ; mais, pour les chariots chargés lourdement, les bœufs ne les traînaient qu’au prix d’extrêmes fatigues. L’essentiel était d’éviter les accidents, tels qu’un bris de roue ou d’essieu, qui eût nécessité de longues réparations, sinon même l’abandon définitif du véhicule.

D’étroites gorges se succédaient, coupées de ravins. (Page 311.)

C’était le 19 octobre, dès le matin, que la caravane s’était engagée sur ces territoires, où les fils télégraphiques ne pouvaient plus